(Er zieht sie mit wüthender Gluth an sich; sie sinkt mit einem Schrei an seine Brust. – Der Vorhang fällt schnell.)
Richard Wagner
Die Walküre, Ende des 1. Aufzuges
(Il l’attire à lui avec une furieuse ardeur, elle pousse un cri et se jette dans ses bras. Le rideau tombe rapidement)
Richard Wagner
La Walkyrie Fin du 1er acte
Er [Wagner] hat mir seine Trilogie geschickt. Der Kerl ist ein Dichter und kein Musiker. Es kommen allerdings tolle Dinge da vor. Einmal heißt es, der Vorhang fällt rasch. Wenn er aber nicht rasch fällt, dann kriegen wir böse Dinge da zu sehen.
Arthur Schopenhauer
Gespräche. Hg. v. Arthur Hübscher. Stuttgart: Frommann-Holzboog, 1971. S. 215.
Il [Wagner] m’a fait parvenir sa trilogie. Ce gars est un poète, pas un musicien. Il s’en passse des choses étonnantes là-dedans. Un moment il est dit que le rideau tombe rapidement. Car s’il ne tombait pas vite, on verrait de vilaines choses.
Arthur Schopenhauer
La source se trouve sur le site Bonaventura /Lektüren eines Nachtwächters (Lectures d’un veilleur de nuit)
Un commentaire signale en outre que Schopenhauer avait noté sur l’exemplaire que Wagner lui avait dédicacé, à l’endroit de la didascalie indiquant la fermeture rapide du rideau : il était temps.
La fin du premier acte de la Walkyrie se passe entre Sieglinde, la femme de Hunding et Siegmund qui s’est réfugié chez eux. En même temps qu’ils tombent amoureux l’un de l’autre, Sieglinde et Siegmund découvrent qu’ils sont frère et soeur jumeaux.